Dongyue Temple et le Silk Center
Encore pas mal de choses à raconter pour aujourd'hui. Déjà, je devais aller à la Grande Muraille mais le temps n'y était pas. Donc, on a repoussé à ce week-end. Du coup lever à 7h30 pour rien ; mais c'est pas grave la journée du coup était longue.
Ce matin, on est allées dans un temple taoïste : le Donyue Temple, en métro. Dans le métro, c'est pareil qu'à Paris les gens font la gueule. De toute façon, il faut savoir que les Pékinois ne sont pas particulièrement souriants.
Sur les photos, vous pouvez voir Aline et Su. Le temple était très reposant.
Pour les graphistes, attention à la concurrence, partout dans le temple, on peut voir des enfants qui s'entrainent au dessin en copiant les statues, les objets exposés.
La petite carte, ci-dessous, vous souhaite à tous longévité et bonheur (attention suivant les règles taoïstes, c'est seulement pour les personnes qui font le bien).
Ce midi, nous avons mangé dans un petit resto (genre resto rapide pour-chinois-pressés-de-manger-le-midi). Le bol de nouille avec du boeuf est à 1 euro.
Bon l'après-midi a été plus futile. Aline et moi sommes allées dans le Silk Center en pousse-pousse (plus typique que le taxi ; comme ça tu profites pleinement de la pollution). Un grand centre commercial où l'on peut se faire faire des vêtements sur mesure (cf. les photos). Je me suis un peu lachée et j'ai commandé un top, une veste, une étole et une robe.
Après tout cela, il nous fallait bien un peu de détente donc j'ai emmené Aline se faire faire une manucure pour la première fois. Plutôt bien faite et avec massage pour seulement 5 euros (1 heure). Les petites chinoises de l'institut se donnent des noms, "très local" : Penny, Jenny et Wendy.
Prochaine étape : demain, nous allons au temple des Lamas et au temple de Confucius.
Le + culture : Pékin compte 14 000 000 d'habitants.
Le - drôle : Quand une famille chinoise décide d'avoir un deuxième enfant, elle doit payer entre 3 et 6 mois de salaire suivant les régions. Même si ce n'est pas toujours respecté (surtout à la campagne), les gens te poussent à avorter.